De la Shoa a Mohamed Merah, à qui profite les crimes anti-juifs

J’accuse….

Ceux qui veulent en finir avec « l’antisémitisme » doivent d’abord se demander à qui profite les crimes « antisémites ». A l’heure ou tant de citoyen en arrivent à tous mettre sur le dos des juifs, il est bon de rappeler qu’il n’y a pas de lobbie juif mais un puissant lobbie sioniste, que le mouvement sioniste n’a pas été crée par des juifs mais par des protestants et n’est pas au service des juifs mais d’un groupe occulte pret à sacrifier autant de juif qu’il le faudra pour arriver à leurs fins, que les sionistes ont collaboré avec Adolphe Hitler et que si les sionistes sont les premiers à culpabiliser les européens en dénonçant la collaboration, ils sont le dernier groupes de collabo à ne pas avoir été jugé et ils exploitent sans honte les crimes contre les juifs dont ils sont coupables pour en commettre d’autres en manipulant les descendants de leurs victimes.

Si on regarde les étapes qui ont conduit à la Shoah et la création d’Israël on peut remarquer une logique, comme la réalisation d’un plan parfaitement conçu, non pas par des sionistes, mais par une organisation au dessus, qui regroupe des personnes se disant « juives » ou « protestantes ». Ce plan va plus loin bien sur que la création d’un état occidentalisé placé sur une zone hautement stratégique : Israël, il y avait aussi derrière la conquête de la vieille Europe et la mise en place d’organisations internationales. Mais ici je parlerais principalement du mouvement sioniste et de sa collaboration avec les mouvements anti-juifs, de leurs travail en communs depuis le début du 19 e siècles, comment ils ont réussi a faire croire aux juifs d’Europe qu’ils étaient les descendants du peuple d’Abraham et Moise et comment avec l’aide de personnage comme Adolphe Jacob Hitler et les Rothschild ils ont pu créer l’état d’Israël.

Mais d’abord vous devez savoir que :

Le sionisme n’a pas été créé par des juifs

« Dans l’Histoire officielle actuelle, il est d’usage d’ignorer la période XVIIe-XIXe siècle et de présenter Theodor Herzl comme le fondateur du sionisme. Or, selon les publications internes de l’Organisation sioniste mondiale, ce point est faux.

Le vrai fondateur du sionisme contemporain n’était pas juif, mais chrétien dispensationaliste. Le révérend William E. Blackstone était un prêcheur états-unien pour qui les vrais chrétiens n’auraient pas à participer aux épreuves de la fin des temps. Il enseignait que ceux-ci seraient enlevés au ciel durant la bataille finale (le « ravissement de l’Église », en anglais « the rapture »). À ses yeux, les juifs livreraient cette bataille et en sortiraient à la fois convertis au Christ et victorieux.

C’est la théologie du révérend Blackstone qui a servi de base au soutien sans faille de Washington à la création d’Israël. Et ceci bien avant que l’AIPAC (le lobby pro-Israélien) soit créé et prenne le contrôle du Congrès. En réalité, le pouvoir du lobby ne vient pas tant de son argent et de sa capacité à financer des campagnes électorales que de cette idéologie toujours présente aux USA.

La théologie du ravissement pour aussi stupide qu’elle puisse paraître est aujourd’hui très puissante aux États-Unis. ».

 » Theodor Herzl était un admirateur du diamantaire Cecil Rhodes, le théoricien de l’impérialisme britannique et fondateur de l’Afrique du Sud, de la Rhodésie (auquel il donna son nom) et de la Zambie (ex-Rhodésie du Nord). Herzl était juif, mais pas israélite et n’avait pas circoncis son fils. Athée comme beaucoup de bourgeois européens de son époque, il préconisa d’abord d’assimiler les juifs en les convertissant au christianisme. Cependant, reprenant la théorie de Benjamin Disraéli, il arriva à la conclusion qu’une meilleure solution était de les faire participer au colonialisme britannique en créant un État juif, dans l’actuel Ouganda ou en Argentine. Il suivit l’exemple de Rhodes dans la manière d’acheter des terres et de créer l’Agence juive.

Blackstone parvint à convaincre Herzl de joindre les préoccupations des dispentionnalistes à celles des colonialistes. Il suffisait pour cela d’envisager de créer Israël en Palestine et de multiplier les références bibliques. Grâce à cette idée assez simple, ils parvinrent à faire adhérer la majorité des juifs européens à leur projet. Aujourd’hui Herzl est enterré en Israël (sur le Mont Herzl) et l’État a placé dans son cercueil La Bible annotée que Blackstone lui avait offerte.

Le sionisme n’a donc jamais eu comme objectif de « sauver le peuple juif en lui donnant une patrie », mais de faire triompher l’impérialisme anglo-saxon en y associant les juifs. En outre, non seulement le sionisme n’est pas un produit de la culture juive, mais la majorité des sionistes n’a jamais été juive, tandis que la majorité des juifs sionistes ne sont pas israélites. Les références bibliques, omniprésentes dans le discours officiel israélien, ne reflètent la pensée que de la partie croyante du pays et sont avant tout destinées à convaincre la population états-unienne.

C’est à cette période que l’on créa le mythe du peuple juif. Jusque-là, les juifs se considéraient comme appartenant à une religion et admettaient que leurs membres européens n’étaient pas des descendants des juifs de Palestine, mais de populations converties au cours de l’Histoire  »

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Depuis le début donc, ce sont des chrétiens protestants qui manipulent des juifs via le mouvement sionistes et les mouvements d’extrêmes droites anti-juif (fascistes, nazis…).

Les sionistes et l’extrême droite inventent le terme « sémite » pour designer les juifs

Le début de la manipulation des juifs d’Europe a été réalisé par les mouvements d’extrême droite européens, le but était de faire valoir l’origine non européenne mais de Palestine des juifs d’Europe, comme les descendants du peuple juif originel, expulsés par les romains.

Quand le premier anti-sémite est aussi un sioniste

« Antisémite » le terme a été crée par Wilhelm Marr, un allemand judeophobe, en 1879.

Wilhelm Marr introduit le terme antisémitisme dans le discours politique de la société de son temps et comme les sionistes (qui n’existent pas encore), il plaide pour une expulsion de tous les juifs vers la Palestine (comme c’est bizarre !).

Cette utilisation du terme « sémite » pour designer les juifs européen renvoie à la notion de race, mais les Juifs ne constituent pas une race, il n’y a pas de race sémite car si tel était le cas alors les Arabes en seraient la principale constituante, cette première tentative de manipulation est à l’époque critiqué par de nombreux historiens même juif qui défendent  l’origine Khazars des juifs d’Europe.

Jusque-là, les juifs d’Europe se considéraient comme appartenant à une religion et admettaient que leurs membres européens n’étaient pas des descendants des juifs de Palestine, mais de populations converties au cours de l’Histoire.

Les khazars étaient un peuple d’Asie centrale, à l’heure ou leurs voisins se sont convertis au christianisme ou à l’Islam, les khazars qui avaient un immense empire, se sont convertis à la religion juive, lorsque l’empire khazars c’est écroulé le peuple khazars c’est vu éparpillés dans toutes l’Europe et ils ont subi l’hostilité des autres peuples chrétiens ou musulmans.

Il y a eu de très nombreuses conversion au judaïsme et le fait d’avoir un seul mot, « juif », pour designer les croyants en une religion (converti ou non) et le peuple descendant (du peuple juif originel ou de converti), aide beaucoup les mystificateurs.

Le mythe de l’origine juive (de sang) descendant du vrai peuple juif des juifs d’Europe due à l’expulsion de tout le peuple juif par les romains, propagé par les sionistes ne tient pas aussi parce qu’il n’y a aucun écrit romain décrivant l’expulsion de tout le peuple juif, alors que les romains notaient tous et aussi parce que l’on retrouvait des coutumes khazars dans les coutumes ashkénazes.

Le grand résistant Marc Bloch fait parti de ces historiens juifs qui affirmaient avant la seconde guerre mondiale que les Juifs avaient des origines« méditerranéennes, turco-khazars et slaves ».

 

LES KHAZARS ET L’INVENTION DU PEUPLE JUIF

« Le roi des Khazars devint tellement dégoûté de la dégénérescence de son royaume qu’il se résolut à adopter une soi disant confession monothéiste. Entre la Chrétienté, l’Islam, ou ce qui est connu sous le nom de Judaïsme qui en est vérité est le ’’ Talmudisme’’. En choisissant par pur hasard le choix du roi se porta sur ce qui est communément appelé le Judaïsme qui advint la religion d’Etat. Il envoya donc des gens étudier aux écoles talmudiques de Pumbedita et Sura et fit ramener des milliers de Rabbins, ouvrit des synagogues et des écoles et son peuple devint ce qu’on appelle maintenant ’’juif’.
Mais il n’y avait parmi eux aucun qui n’eut jamais mis le pied en terre sainte. Il n’y avait parmi ce peuple aucun dont l’ancêtre appartenait à l’histoire du vieux testament. Absolument pas un. »
BENJAMIN FREEDMAN (juif et militant sioniste qui a ensuite abandonné le mouvement et s’est converti au christianisme)

« Shlomo Sand écrit que, contrairement à ce qui est parfois avancé, il n’y a pas eu d’exil massif à l’issue des révoltes juives de 66-70 et 132-135 en Palestine romaine, ni, à plus forte raison, d’expulsion des populations juives par les Romains. L’historien du Proche-Orient hellénistique et romain Maurice Sartre confirme qu’« il est indiscutable qu’il n’y a pas eu d’Exil général des juifs à la suite des révoltes de 66-70 et de 132-135, et encore moins d’expulsion », même s’il y a eu, pour des raisons économiques de surpopulation essentiellement, des déplacements de population à courte distance, notamment de Judée en Galilée, entre l’époque des Maccabées et le IIe siècle. » source

« Un écrivain juif de renom, Arthur Koestler, ami des plus grands comme Camus ou Malraux, partisan acharné des libertés au point de remettre en cause son appartenance communiste après les Procès de Moscou, engagé résolument dans la cause sioniste, ose mettre en question l’origine des Ashkénazes : ces populations juives en provenance supposée du nord-est de la France, des Flandres et de Rhénanie ne seraient pas finalement, selon lui, juives d’origine. Il s’agirait, explique Arthur Koestler dans son livre « La Treizième Tribu » de descendants d’une peuplade sise entre Danube, Don et Volga appelée « Khazars ». Son étude particulièrement fouillée, et dont il faut saluer la réédition dans la collection « Texto » de chez Tallandier, étaye la thèse de D.M. Dunlop, un historien britannique. » source

 

 » Blackstone et Herzl ont artificiellement fabriqué l’idée selon laquelle tous les juifs du monde seraient des descendants des juifs antiques de Palestine. Dès lors, le mot juif s’applique non seulement à la religion israélite, mais désigne aussi une ethnie. En se fondant sur une lecture littérale de La Bible, ils sont devenus les bénéficiaires d’une promesse divine sur la terre palestinienne. ‘ source

Hitler et Staline feront taire les historiens défendant l’origine Khazars des juifs d’Europe et après la seconde guerre mondiale il n’y aura plus personne pour en parler jusqu’à ce que l’histoire ressorte de différentes sources, la dernière venant de l’historien israélien, Shlomo Sand, avec son livre « Comment le peuple Juif fut inventé » qui sera un best-seller en Israël mais qui passera inaperçu en Europe grâce au puissant lobbies sioniste, seul des journaux à peu près libre comme le monde diplomatique, y consacreront des articles. L’occasion de rappeler qu’il n’y a pas de lobby juif, mais il y a un lobby sioniste principalement chargé de manipuler les juifs.

Le soutien des protestants américains  à Hitler

Les puissantes familles protestantes qui ont crée le Sionisme vont apporter un important soutien à Hitler qui est surement une de leurs marionnettes.

Sur la fiche que les RG français ferons sur Hitler, avant qu’il ne devienne chancelier, il sera noté : Adolphe Jacob Hitler, ne serait que l’instrument de puissances supérieures.

Henri Ford l’inspirateur du nazisme ?

En 1903, au États-Unis, alors que Henri Ford est sur le point de faire faillite, il reçoit l’aide d’une mystérieuse banque germano-américaines (il y a des recherches à faire à son sujet) et les usines Ford peuvent enfin se développer, en 1920 des usines seront ouvertes en Allemagne et un journal anti-juif sera édité en allemand avec des articles signés Henri Ford. Il y aura aussi la parution d’un livre :  »The International Jew », qui aura une grande influence sur Hitler et l’idéologie nazi.

Ford sera remercié pour toutes l’aide apporté au nazi, aide autant idéologique, financière, matérielle que militaire, il reçut en 1938 la « Grand-Croix de l’ordre de l’Aigle allemand », plus haute décoration nazie pour les étrangers

Au procès Nuremberg de nombres nazis avouerons être devenu anti juif en lisant le journal de Ford.

 « Hitler n’a pas été le seul des dirigeants nazis à éprouver l’influence du livre de Henri Ford. Baldur von Schirach, leader de la Hitlerjugend et, plus tard, gauleiter de Vienne, déclara, lors du procès de Nuremberg : « Le livre antisémite décisif que j’ai lu à cette époque, et le livre qui a influencé mes camarades, est celui de Henry Ford, The International Jew. Je l’ai lu et je suis devenu antisémite. » Joseph Goebbels et Alfred Rosenberg figurent également parmi les dirigeants ayant mentionné cet ouvrage au nombre des référence importantes de l’idéologie du Parti national-socialiste allemand (NSDAP). »
Henry Ford, inspirateur d’Adolf Hitler

Prescot Bush, le père de George Bush et grand père du GB junior , a été un des financier d’Hitler au côté de Fritz Thyssen.

 »Prescott Bush, ami personnel de nombreux dirigeants du IIIème Reich, multiplia les joint-ventures avec les autorités nazies durant la période 1933-1941. Il continua à « faire des affaires » avec le régime nazi pendant la Seconde Guerre mondiale. Tout commerce avec l’Allemagne ayant été interdit et ses sociétés ayant été placées sous séquestre par le gouvernement Roosevelt après l’entrée en guerre des États-Unis, il créa une constellation d’entreprises internationales pour contourner la législation. Il installa aux Pays-Bas des sociétés de blanchiment de l’argent du crime, dont la Consolidated Silesian Steel Company, propriétaire de l’usine d’Oswiecim-Auschwitz. »
Les Bush et Auschwitz, une longue histoire

 »L’argent engrangé grâce à la collaboration avec les nazis permit aux Bush d’asseoir leur position politique. Prescott devint sénateur et deux de ses héritiers montèrent à la Maison Blanche sans faire beaucoup réagir les bonnes âmes juives et américaines du pays. »
Un Bush complice d’Hitler

Les Rockefeller et d’autres grandes familles américaines, toujours lié à la famille Rothschild dans les affaires, ont aussi aidés Hitler, ce groupe d’homme puissant qui cherche à créer un nouvel ordre mondial, sont très certainement ceux désignés comme « puissances supérieures » sur la fiche des RG.

« une grande partie des sociétés US ont carrément collaboré avec Hitler, et pas seulement au début de la guerre : Du Pont, Union Carbide, Westinghouse, General Electric, Goodrich, Singer, Kodak, ITT, JP Morgan…

Pire. La grande nouveauté stratégique d’Hitler, ce fut la « Blitzkrieg », la guerre-éclair : porter très vite ses troupes au coeur de l’adversaire. Pour cela, deux conditions indispensables : des camions et de l’essence. L’Allemagne n’ayant aucun des deux, c’est Esso qui a fourni l’essence, tandis que les camions provenaient des usines allemandes de Ford et General Motors. »
6 juin 44 : ce qu’on ne vous dira pas

Pactes avec le diable  » l’Amérique et le 3eme Reich « 

Sur le rôle des grandes banques américaines comme Chase et JP Morgan, qui ont soutenu les nazis, de Fabrizio Calvi et Steeve Baumann.
La vidéo ne cesse de disparaitre, preuve qu’elle dérange énormément surtout que l’on entend souvent parler de JP Morgan depuis le début de la crise.

5 multinationales qui ont financé l’Holocaust

Dans une lettre au secrétaire d’Etat Cordell Hull, datée du 8 septembre 1944, le Président Roosevelt disait : « L’histoire de l’utilisation par les nazis du trust IG Farben se lit comme un roman policier. La défaite de l’armée nazie devra être suivie de l’éradication de ces armes de guerre économique. »

Cependant, malgré l’intention clairement exprimée par Roosevelt, ces cartels furent protégés pendant la guerre par leurs partenaires anglo-américains et leur démantèlement ultérieurement prévu fut bloqué par ces mêmes intérêts. Au moment ou Roosevelt allait s’y attaquer il est mort étrangement…en avril 1945.

 

Le travail de Jacob Hitler et les Sionistes pour les colonies juives en Palestine

Quand Adolphe Jacob Hitler devient chancelier, le Betar (un mouvement de jeunesse juif radical, sioniste) le rejoint dans les mouvances nazis et l’aide à faire le tri entre les « bons juifs », les sionistes alliés ,ceux prêt à quitter l’Allemagne pour coloniser la Palestine qui seront aidés par les nazies et les autres, ceux qui ne veulent pas partir et qui seront au final envoyés dans les camps de la mort.

« Pendant les années 30, en coopération avec les autorités allemandes, les groupes sionistes organisèrent un réseau d’environ 40 camps sur l’ensemble de l’Allemagne, où les éventuels colons furent formés à leurs nouvelles vies en Palestine. Jusqu’en 1942 les Sionistes exploitèrent au moins un de ces derniers « Kibboutz » officiellement autorisé comme camps d’entraînement sur lequel flottait la bannière bleue et blanche qui deviendra un jour le drapeau national « d’Israël ».

 

« L’accord de transfert (qui favorisa l’émigration des juifs allemands en Palestine), mis en application en 1933 et abandonné au début de la 2ème Guerre Mondiale, est un exemple important de la coopération entre l’Allemagne d’Hitler et le sionisme international. Par cet accord, le troisième Reich d’Hitler fit plus que n’importe quel autre gouvernement pendant les années 30 pour soutenir le développement juif en Palestine et promouvoir les buts sionistes.

A la suite de cette accord il y aura même une visite d’amitié nazi-sioniste en Palestine d’un diplomate nazi et une médaille symbolisant cette amitié frappé de la croix gammé sur une face et de l’étoile de David sur l’autre. »

 

L’accord de transfert (qui favorisa l’émigration des juifs allemands en Palestine), mis en application en 1933 et abandonné au début de la 2ème Guerre Mondiale, est un exemple important de la coopération entre l’Allemagne d’Hitler et le sionisme international. Par cet accord, le troisième Reich d’Hitler fit plus que n’importe quel autre gouvernement pendant les années 30 pour soutenir le développement juif en Palestine et promouvoir les buts sionistes. »

« Après que les Lois Contre la Race Juive de Nuremberg aient été décrétées en septembre 1935, seuls deux drapeaux ont été autorisés pour parader dans toute l’Allemagne nazie. L’un était le favori de Hitler, le svastika. L’autre était la bannière bleue et blanche du Sionisme. On a aussi permis aux sionistes d’éditer leur propre journal. Les raisons de ce favoritisme parrainé par le Reich étaient selon l’auteur : Les Sionistes et les nazis avaient un intérêt commun à faire émigrer les juifs allemands en Palestine. « 
http://www.mondialisation.ca/rassem…

Vidéo sur l’Accord de Transfert, la complicité entre nazis et sionistes

 » Les sionistes avaient aussi un plan commercial avec le gouvernement de Berlin, selon lequel les juifs allemands pourraient obtenir le remboursement de leurs propriétés en marchandises nazies exportées vers la Palestine occupée alors par les britanniques. Et pour couronner le tout, l’infâme SS-Hptscharf, Adolf Eichmann, a visité la Palestine, en octobre 1937, invité par les sionistes. Il a aussi rencontré Feivel Polkes en Égypte, un employé sioniste, qu’Eichmann décrivait comme un « principal fonctionnaire de la Haganah. » Polkes, fumant cigarette sur cigarette, était aussi sur la liste du personnel nazi « comme informateur.  » […] « 
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Après le blocage de l’immigration juive par les anglais en Palestine (1939) Jacob Hitler et les sionistes changent de plan

A ce moment là Hitler acceptera d’expulser les juifs à condition que ce ne soit pas en Palestine, soit disant a cause d’accord avec le mufti de Jérusalem et les sionistes refusent que des juifs soient expulsés ailleurs qu’en Palestine et feront pressions sur des pays pour qu’ils limitent l’immigration juive.

En fait ils sont encore parfaitement accordés, mais pour la deuxième phase du plan, ces décisions conduirons les juifs qui avaient refusé de partir coloniser la Palestine vers les camps de la mort, car comme l’expliqueront ensuite les sionistes, il fallait sacrifier un maximum de juif non-sioniste, assez pour permettre aux sionistes d’exiger la création d’un état juif après la guerre.

En réalité le mufti de Jérusalem est un homme sans réel pouvoir et pas du tout représentatif du peuple palestinien, en majorité opposé à l’Allemagne nazi, mais il est d’une importance capitale pour les sionistes, il sera la raison de la haine des juifs envers les palestiniens, la raison du changement de politique entre nazi et sioniste.

« Un mufti bien utile...

A l’école du village, on nous racontait aussi que « les Arabes qui vivent en Israël s’étaient alliés aux nazis et qu’il fallait les écraser, que Al-Husseini, le mufti de Jérusalem était leur leader, qu’il avait collaboré avec Hitler et appelé les Palestiniens à se joindre aux forces de l’Axe ».

Nous ignorions alors – certains l’ignorent d’ailleurs toujours, ou feignent de l’ignorer – que cet Amin Al-Husseini avait quitté la Palestine en 1937 (Liban, Irak… et en Allemagne depuis 1941), qu’il était largement discrédité dans le monde arabe… et que son influence sur la population de son pays était plus que limitée.

Preuve en est le faible résultat de ses exhortations auprès des nations arabes et de ses compatriotes : seuls 6 300 volontaires de divers pays arabes (Egypte, Arabie, Liban, Turquie…et Palestine) rejoignirent les organisations militaires nazies, tandis qu’ils furent 259 000, dont 9 000 Palestiniens, à rejoindre les forces alliées !

Que cet Al-Husseini ait été un personnage exécrable est incontestable mais de là à en faire le “chef“ des Palestiniens…
Et lui consacrer plus de place au mémorial de Yad Vashem qu’à des Himmler ou Goebbels – l’espace qui lui est consacré dans “Encyclopedia of the Holocaust“ est seulement dépassé par celui concernant Hitler lui-même – serait risible si ce n’était clairement une manipulation visant à présenter les Palestiniens comme coresponsables du génocide hitlérien. »

Mémento 1 : « Le génocide n’est pas mon affaire »

 

Comment Hitler et les sionistes ont envoyé les juif non sioniste à la mort

Les juifs volontaires avaient été envoyé dans les colonies en Palestine, d’autres étaient encore dans les camps d’entrainements en Allemagne, mais les autres, les juifs qui ne voulaient pas partir, les juifs non sioniste, ceux là devaient être sacrifiés pour permettre la création d’Israël.

« Quand d’autres ont essayé de les aider à s’échapper vers d’autres pays, le mouvement sioniste fit fermer la porte de ces pays à l’immigration juive. En raison de l’influence sioniste cinq navires de réfugiés juifs d’Allemagne arrivant aux USA furent renvoyés vers l’Allemagne et les passager finir dans les chambres à gaz. »
(source livres, « Perfidy » et « Min Hametzer »)

« Le 7 décembre 1938, Ben Gourion, le premier dirigeant de l’état sioniste d’Israël déclara « Si je savais possible de sauver tous les enfants d’Allemagne en les amenant en Angleterre, et seulement la moitié des enfants en les amenant à Eretz Israël, je choisirait la deuxième solution. Pour nous, il nous faut non seulement tenir compte des vies de ces enfants mais aussi de l’histoire du peuple d’Israël. » « 

L’action du sionisme contre la résistance juive et contre le plan de sauvetage des juifs en Europe.

En juillet 1944, le rabbin Slovaque, Dov Michael Weissmandel, a écrit aux fonctionnaires sionistes chargés des « opérations de récupération », proposant une série de mesures pour sauver les juifs d’Auschwitz . Il offrait des cartes détaillées des voies ferrées et planifiait le bombardement des lignes qui menaient aux crématoriums. Il demandait que les fours d’Auschwitz soient bombardés, que soient lancées par parachutes des munitions pour les 80 000 prisonniers et des bombes pour faire exploser le camp et mettre fin à l’incinération de 13 000 juifs par jour.

Dans le cas où les alliés refuseraient de coopérer, Weissmandel proposait que les sionistes, qui avaient suffisamment d’argent pour cela, achètent des avions, recrutent des volontaires et exécutent l’opération.Weissmandel n’était pas le seul à demander une telle chose. Dans les années 40, les porte-parole européens juifs ont appelé au secours, demandé des campagnes publiques, une résistance organisée, des manifestations pour forcer les gouvernements alliés à coopérer.

Chaque fois, cependant, ils ont reçu le silence ou même le sabotage actif du sionisme .

 En juillet 1944, une année avant la fin de la guerre, le rabbin Weissmandel a envoyé une lettre de protestation aux sionistes, qui a été publiée en partie dans l’Histoire cachée du sionisme de Schoenman :

 « Pourquoi n’avez vous rien fait jusqu’à maintenant ? Qui est le coupable de cette négligence terrible ? Est-ce que vous n’êtes pas les coupables, juifs frères qui avez la meilleure chance du monde, la liberté ? Nous vous envoyons ce message spécial : nous vous informons qu’hier les allemands ont commencé à déporter les juifs de la Hongrie. Ces déportés vers Auschwitz seront tués avec le gaz cyanure. C’est l’ordre du jour pour Auschwitz depuis hier : douze mille juifs seront asphyxiés – hommes, femmes, enfants, vieux gens, bébés, sains et malades.

 Et vous, nos frères là en Palestine, vous de tous les pays libres, et vous, ministres de tous les royaumes, pourquoi restez vous silencieux face à une telle massacre ? Vous vous taisez pendant qu’ils assassinent des milliers, cela fait déjà six millions de juifs ? Vous vous taisez maintenant, pendant que des dizaines de milliers sont assassinés ou se trouvent dans la file d’attente pour être assassinés ? Leurs cœurs fracassés demandent votre aide, et pleurent pour votre cruauté.

 Vous êtes brutal, vous aussi vous êtes des assassins, par le sang froid du silence avec lequel vous regardez, parce que vous restez assis les bras croisés sans rien faire, même en sachant qu’à ce moment même vous pourriez arrêter ou au moins différer l’assassinat des juifs.

 Vous, mes frères, est-ce que vous êtes fous ? Ne savez vous pas quel enfer nous entoure ? Pour qui gardez vous votre argent ? Vous êtes des assassins ! des fous ! Qui pratique la charité ici ? Vous, qui dans vos solides maisons laissez tomber quelques centimes, ou nous, qui donnons notre sang au plus profond des enfers ?  »

Pas un seul dirigeant sioniste n’a soutenu cette pétition ; et aucun des gouvernements de l’ouest n’a bombardé un seul camp de la concentration. »

« La coopération entre le sionisme et le fascisme a fait que le premier trahisse la résistance et tourne le dos à une entreprise qui a mené à la mort au moins six millions de juifs. Aujourd’hui, quand un autre anniversaire de l’holocauste est commémoré, il faut dire avec toute la clarté que le sionisme n’a pas lutté pour le prévenir . Pourtant, il l’utilise comme un alibi pour assassiner des palestiniens .

C’est un fait tellement choquant que la journaliste israélienne, Amira Hass, du journal Haaretz, a appelé les survivants de l’holocauste et leurs descendants à ne pas interpréter l’assassinat de leur peuple et de leurs familles en Europe comme un aval éternel pour la suppression et l’expropriation du peuple palestinien et pour présenter ce peuple comme l’ennemi qui remplace les allemands.

En réalité, il est grand temps qu’Israël arrête d’utiliser l’holocauste comme une justification pour opprimer et persécuter les palestiniens, faisant avec eux ce que les allemands avaient fait aux juifs. »

Cécilia Toledo

 

 »La documentation abonde sur l’opposition des dirigeants juifs sionistes au sauvetage des Juifs européens.

L’histoire la plus connue est celle de Rudolf Kastner, dirigeant le Comité de Sauvetage de l’Organisation Mondiale Sioniste à Budapest en Hongrie pendant la IIème Guerre Mondiale nommé par la suite membre du gouvernement d’ »Israël » dirigé par Ben Gourion. Kastner est devenu célèbre car son nom a été associé à celui du criminel de guerre nazi Adolph Eichmann. Kastner a collaboré avec les Nazis.

Dans les années 1944 1945 Kastner est devenu un V.I.P des Nazis exempté du port de l’étoile jaune. Kastner a été chargé par Les Nazis de sélectionner 1600 personnalités juives parmi lesquels ses proches et amis pour immigrer en Palestine en échange de quoi il a aidé Adolphe Eichmann à envoyer ½ million de Juifs hongrois et de Transylvanie dans des camps d’extermination. Pour convaincre ces Juifs de ne pas résister les mettre en confiance pour les faire monter dans les trains de la mort Kastner n’a pas hésité à organiser l’envoi de fausses cartes postales « d’autres juifs » où il était écrit qu’il s’agissait seulement de les réinstaller ailleurs. Terrible trahison de ce Juif sioniste car ces Juifs auraient pu se soulever Eichmann ne disposant en tout et pour tout pour les garder que de 150 hommes de troupe nazis et en gros 1 millier de soldats hongrois. Ils auraient pu fuir vers des territoires en Europe de l’Est non occupés par les Nazis.

Ces faits ont été révélés au public israélien en 1954 lors d’un procès intenté contre Kastner par des survivants ou descendants de survivants de ces Juifs hongrois venus témoigner contre Kastner. Ce dernier après avoir vainement nié a avoué avoir fait ce que tous les dirigeants sionistes préconisaient à l’époque. Kastner a été mystérieusement assassiné peu après.

En d’autres termes les dirigeants juifs sionistes de l’époque préconisaient de marchander avec les Nazis l’envoi d’une « élite » juive en Palestine et de fermer les yeux voire pire de tromper des centaines de milliers de Juifs pour que les Nazis puissent tranquillement les envoyer dans des camps d’extermination.

La politique sioniste de sabotage des efforts de sauvetage de Juifs persécutés par le Nazisme était active dés 1942. Dans une lettre envoyée au Times publiée le 06/06/1961, Le rabbin dc Solomon Schonfeld à la tête du Comité de Sauvetage en Temps de Guerre établi par le Grand Rabbin de Grande Bretagne, décrivait comment la direction sioniste dans ce pays s’opposait aux efforts pour sauver les Juifs européens tout en accusant le gouvernement britannique d’être indifférent au sort de ces Juifs aux mains des Nazis ce que contestait Schonfeld. Ce dernier décrit comment en Décembre 1942 lui et d’autres membres du Comité ont présenté aux parlementaires britanniques une proposition de loi pour que le gouvernement « déclare qu’il est prêt à trouver un refuge temporaire sur ses propres territoires ou des territoires sous son contrôle à des personnes en danger pouvant quitter leurs pays, de faire appel aux gouvernements des pays frontaliers de l’ennemi ou des pays occupés par l’ennemi pour accorder l’asile temporaire et faciliter le transit de telles personnes, d’offrir à ces gouvernements dans la mesure ou c’est possible une aide pour faciliter leur coopération et d’inviter les autres gouvernements alliés à envisager une action similaire. »

Cette initiative a été sabotée par les dirigeants sionistes. Voilà comment elle le fut d’après Le rabbin dc Solomon Schonfeld :

« suite à des inquiétudes largement partagées et la pugnacité de quelques uns, cette proposition de loi a obtenu en 2 semaines les signatures de 277 parlementaires de tous les partis. Cette proposition purement humanitaire a rencontré dans les cercles gouvernementaux beaucoup de sympathie et je dois ajouter que le gouvernement de H.M a effectivement délivré plusieurs centaines de permis d’immigration mauritaniens et autres…pour des familles juives menacées dont nous pouvions fournir les noms. Alors même que cette proposition faisait l’unanimité des voix dissidentes se sont élevés des quartiers sionistes : Pourquoi pas la Palestine ? Les réponses évidentes que la préoccupation la plus urgente était humanitaire et non pas politique et que l’alliance nazie du Grand Mufti excluait la Palestine pour sauver immédiatement des vies juives et que la Grande Bretagne ne pouvait pas alors ajouter des problèmes aux problèmes existant du Moyen Orient n’ont servi à rien.

Lors d’une réunion parlementaire du 27 Janvier 1943 alors même que plus de 100 parlementaires et lords poursuivaient activement leurs actions un porte parole des Sionistes a annoncé que les Juifs s’opposeraient à cette proposition parce qu’elle ne mentionnait pas la Palestine. Certaines voix s’élevèrent en soutien à la position sioniste il y a eu un très important débat et la proposition a été tuée. Même ceux qui en avaient fait la promotion se sont exclamés désespérés : si les Juifs ne peuvent pas s’accorder entre eux comment pouvons nous aider ? C’était inutile d’argumenter avec la justification de l’époque fournie par les Sionistes : « chaque Nation a ses morts dans le combat pour sa patrie- ceux souffrant sous Hitler sont nos morts »

Ce n’est pas le seul acte de sabotage commis par les dirigeants juifs sionistes contre les tentatives de sauvetage des Juifs d’Europe de l’Est.

L’explication de cette froide indifférence voire pire de cette participation voulue à l’extermination nazie des Juifs d’Europe de l’Est par les dirigeants sionistes c’est Nathan Schwalb (Dror) alors représentant de l’organisation sioniste He-Halutz (Le Pionnier) à Genève est dans sa réponse faite à l’automne 1942 aux appels désespérés du groupe de sauvetage juif de Bratislava en Tchécoslovaquie pour qu’ Ha Haluz fournisse une aide financière pour verser des pots de vin aux responsables nazis pour empêcher voire retarder l’envoi de Juifs de Tchécoslovaquie à Auschwitz et dans d’autres camps d’extermination.

Schwalb écrit :

« « comme nous avons l’opportunité d’envoyer ce courrier nous écrivons au groupe qu’il doit toujours se souvenir qu’elle est le sujet le plus important le principal objectif à nos yeux. Après tout les Alliés seront victorieux. Après la victoire ils vont de nouveau se partager le monde entre Nations comme ils l’ont fait à la fin de la Première Guerre. Alors ils nous ont ouvert la porte avec une première étape (la Déclaration Britannique Balfour de 1917) soutenant une patrie juive en Palestine et maintenant alors que la guerre se termine nous devons faire tout pour qu’ Eretz Yisroel ( Terre d’Israël) devienne un état juif. D’importantes actions ont déjà eu lieu à ce sujet. Quant au cri venant de votre pays nous devons avoir conscience que toutes les Nations alliées répandent beaucoup de leur sang et si nous n’apportons pas des sacrifices avec quoi alors obtiendrons nous le droit de s’asseoir à la table lorsqu’ils feront la distribution de Nations et de territoires après la guerre ? Et par conséquent il serait insensé et impertinent de notre part de demander aux Nations dont le sang est répandu d’envoyer de l’argent dans le pays de leurs ennemis pour protéger ceux de notre sang. Car c’est seulement « rak b’dam tihyu lanu haaretz » par le sang que la terre sera notre. En ce qui vous concerne – membres du groupe- vous » atem taylu » ( ferez votre alya = immigration ) et pour cela nous vous fournissons des fonds avec ce courrier. »

On pourrait croire que cette cruelle missive de Schwalb en réponse à un appel au secours des Juifs de Tchécoslovaquie soit le fait d’un extrémiste juif sioniste isolé.

NON, c’était la ligne directrice – et cela reste – des dirigeants juifs sionistes.

Dans son livre i[ In Days of Holocaust and Destruction]I Yitzchak Greenbaum, Président du Comité de Sauvetage de l’Agence Juive* à Jérusalem, écrit :

« quand ils m’ont demandé de l’argent du United Jewish Appeal – Appel Juif Unifié*- pour sauver les Juifs d’Europe j’ai dit « NON » et je redis « NON »… On doit résister à cette vague qui pousse vers des activités sionistes de seconde importance. «

En Février 1943 Greenbaum a fait un discours à Tel Aviv sur le sujet de « La Diaspora et la Redemption ». Il a dit :

« quand ils nous ont présenté deux plans – le sauvetage en masse de Juifs d’Europe ou la rédemption de la terre ( établir des Juifs en Palestine) j’ai voté sans hésiter pour la rédemption de la terre….S’il y avait actuellement la possibilité d’acheter des colis de nourriture avec l’argent du Keren Hayesod* (United Jewish Appeal ) pour les envoyer via Lisbonne ferions nous cela . NON ! Et de nouveau NON »

La grande majorité des Juifs sont à 80% originaires d’Europe à la suite de conversions par mariage de femmes de peuples autochtones au Judaïsme. Une étude génétique (ADN) récente publiée sur Nature communications l’explique scientifiquement.

*L’Appel Juif Unifié est une organisation sioniste trés active dans la collecte d’argent dans les synagogues notamment en France pour coloniser des terres volées aux Palestiniens.

* L’Agence Juive est une organisation sioniste para gouvernementale. En France l’Agence Juive fait partie du CRIF. »

Source

 

La manipulation des juifs par le sionisme continue

En cultivant le souvenir de la Shoah, en culpabilisant les européens et en maintenant les juifs dans le traumatisme régulièrement grâce à Hollywood, ils arrivent à garder une majorité de juif en communauté fermée et solidaire face à « l’ennemi goy ».

Ils mettent aussi en avant tous les crimes commis contre la communauté juive.

Par exemple, sur une journée si il y a 6000 agressions de personne de diverses nationalités et religions en France, le lobbies médiatique sioniste va mettre en avant dans les médias les agressions commises contre des juifs et cela régulièrement pour faire croire aux juifs qu’ils ne sont pas en sécurité en France et les inciter à partir pour Israël. C’est pour cela que l’on se retrouve trop souvent avec des affaires d’agressions dites « anti-sémite » inventés de toutes pièces.

Après il y a des meurtres horrible comme l’affaire Merah et celle du musée juif de Belgique qui ont entrainés une forte immigration vers Israël.

Deux affaires étranges, si d’après le quotidien israélien Haaretz, le couple de touristes israéliens tué lors de la fusillade du Musée juif à Bruxelles, serait lié aux services de renseignements israéliens, l’histoire de Merah est encore plus curieuse, un jeune djihadiste manipulé depuis le début par les services secret français et israélien qui aurait très bien pu être arrêté vivant avec des lacrymos d’après le patron du GIGN, mais qui ne devait pas parler et a été très certainement exécuté par le RAID.

 

Mohammed Merah était-il coupable ou manipulé par les services secrets français ?

Voila un texte qui fait réfléchir, a l’heure ou tant de jeune français vont rejoindre les jihadiste en Syrie, la majorité des volontaires pour le djihad sont d’origines algériennes, leurs parents avaient déjà servit la France qui manipulait les imams et aujourd’hui c’est les enfants qui servent la CIA via les réseaux de l’internationale sunnite wahhabite (appelé maintenant Al Quaida) et l’ISI (les services secret pakistanais).

 

« Les dernières paroles de Merah : Y a t’il eu manipulations ?

Le cinéaste Mathieu Kassovitz revient sur l’affaire Merah et remet en cause la version communiquée par les autorités françaises, soulignant des « zones d’ombre ». « Qui a tué ces enfants juifs ? Sommes-nous certains que c’est Merah et doit-on croire la version officielle malgré les zones d’ombre », demande-t-il sur Twitter, entraînant une vague de réactions.

Mathieu Kassovitz a diffusé les liens de nombreuses coupures de presse qui allaient dans son sens et montraient que « les services français étaient impliqués dans l’affaire ». Deux vidéos filmées par Mohammed Merah avec son téléphone portable vont être remises à la justice. D’après le père de Mohammed Merah, ces vidéos prouvent que son fils a été manipulé par les services secrets français.

Voici la retranscription de ces vidéos…

Première vidéo : Echanges entre Mohammed Merah et un certain « Jossier », capitaine du service des renseignements français.

La bande débute avec une image de l’intérieur de l’appartement de Merah, avec de nombreux échanges de tirs qui ont duré environ quatre minutes. Il portait des vêtements maculés de sang, notamment sur son épaule gauche. Ensuite, Mohammed se filme en disant : « Il n’y a de Dieu hormis Allah et Mohammed est son Prophète ». Puis il s’écroule en larmes.

Jossier : « Allô, Mohammed, sors et rends-toi, personne ne te fera de mal, tu me connais et tu connais ma parole… »

Mohammed Merah : « Va au diable espèce de traître, pourquoi vous voulez me tuer aujourd’hui ? Qu’ai-je fais ? Je n’ai rien fait, je n’ai tué personne. C’est toi qui m’a amené dans cette situation et je ne te le pardonnerai pas ».

J : « Ca ne te servira à rien de rester longtemps ici. Si tu ne m’écoutes pas, je ne pourrai plus gérer la situation demain et je ne pourrai plus t’aider. Alexandre, mon chef, a ton dossier et il promet qu’il sera avec toi jusqu’à la fin ! »

M : « Comment tu peux m’aider alors que c’est toi qui est responsable de cette situation. Monsieur le capitaine Jossier, je connais ton vrai nom et toi qui nous trompait avec le nom de « Zouhir » [ou « Z’hir »], espèce de traître à sa propre religion et ses frères de sang ! ».

J : « Mohammed, rends-toi, on t’aidera du mieux qu’on pourra, nous ne te laisserons pas tomber, tu comptes énormément pour nous. Comme gage de ma bonne foi, je rentre dans la maison et si tu veux on discute face à face. »

M : « Espèce de traître… »

Des coups de feu se font entendre dans la maison et dehors, l’appel est interrompu. Mohammed se filme en disant tout en pleurant : « Il n’y a de force qu’en Allah, je croyais que ce traître Zouhir était musulman et qu’il aime l’Islam et la religion de Dieu, mais il semble qu’il travaille comme capitaine dans les renseignements français, ennemi de Dieu, mécréant ».

C’est le silence et Mohammed perd du sang de son épaule gauche, il porte un turban et de temps à autre, il fait une prière (« Il n’a y a de Dieu hormis Allah… que Dieu détruise les associateurs ») qu’il répète à quatre reprises.

Le téléphone sonne une fois encore, c’est une musique « jihadiste » (« Nous rentrons ouvertement en guerre contre eux et nous reprendrons le droit qui nous a été volé »).

J : « Allô, Mohammed, écoute ce que je dis, ce que tu fais menace ta vie et la vie de ta famille… ta mère, ton frère Abd el Kader et ceux que tu aimes. Écoute-moi et crois-moi, je ferai l’impossible pour régler ce problème et tu seras propre, comme avant. Tout va s’arranger, rends-toi ou sinon reste dans la maison et je rentre pour qu’on sorte ensemble pour que personne ne te fasse de mal. Tu es quelqu’un de sensé Mohammed, quel est l’intérêt de mourir de cette manière en laissant ta famille qui a souffert pour toi. »

M : « Tu veux me liquider et m’assassiner seul dans la maison… Ensuite, vous faites votre film… Ceci ne sera pas… pour ma mère et ceux que j’aime, Dieu les protégera, Il est leur allié. Tu n’es qu’un ignoble qui a vendu sa foi et sa vie d’ici-bas pour les chrétiens haineux… et aujourd’hui, vous voulez me tuer alors que je suis innocent, je n’ai rien fait ! Pourquoi vous voulez me tuer, je suis innocent… je suis innocent ! Pourquoi vous tirez avec des pistolets silencieux ? Vous voulez me tuer, vous ne voulez pas que je vive, pourquoi faites-vous ça ? C’est contraire à ce que vous prétendez comme « droit de l’homme » et la clémence ! »

J : « Mohammed, en agissant comme ça, tu laisses les choses empirer et d’autres vont intervenir… Tu seras peut être blessé, ainsi que ta famille… Écoute mon conseil, rends-toi ou laisse moi venir te chercher, je prends ton arme… Rien ne peut t’aider aujourd’hui… »

M : « C’est mal ce que tu fais « Zouhir », tu m’as envoyé en Irak, le Pakistan et la Syrie pour aider les musulmans et ensuite tu apparais comme un criminel et capitaine dans les renseignements, je ne te pensais pas comme ça, jamais ! »

J : « Mohammed, ce qui est fait est fait, le plus important maintenant est que tu sauves ta vie, je te sortirai de cette affaire… Rends-toi ou permets-moi de rentrer chez toi et de prendre ton arme. »

M : « Je ne sortirai d’ici que mort, vers le paradis de mon Seigneur… Dieu est grand ! »

(Tirs) … L’appel s’interrompt et un échange de tirs s’ensuit avec le bruit des balles et des armes silencieuses.

Mohammed parle tout en se filmant : « Ne crois pas que ceux qui sont tués dans le sentier d’Allah sont morts mais bel et bien vivants, recevant les bienfaits de leur Seigneur. Heureux de ce que Dieu leur a octroyé. Ne dites pas nous avons perdu un martyr sous la terre, seul et apeuré… Je ne suis pas mort, les anges sont autour de moi… »

Deuxième vidéo : Echanges entre Mohammed Merah et Jean Daniel (ou John Daniel) du service des renseignements français.

Jean Daniel : « Mohammed, rends-toi, c’est Jean Daniel avec toi, des RG. Personne ne te fera de mal si tu sors de la maison et que tu déposes les armes. »

Mohammed Merah : « Qui garantit ce que vous dites ? »

JD : « Tu veux qu’on ramène ta mère pour parler avec elle ? Ta fiancée ? »

M : « Je ne veux voir personne, je ne veux pas l’entendre et je ne veux entendre personne d’autre, vous voulez me mettre la pression en les ramenant. »

JD : « Non, nous sommes des gens civilisés, tu connais la France, nous ne te ferons pas de mal, ni toi, ni ta famille, rends-toi, ce qui s’est passé va être arrangé et tu ne seras pas poursuivi par la justice. »

M : « Qui garantit ça ? »

JD : « J’ai des ordres de mes supérieurs, personne ne te fera de mal et personne ne te poursuivra en justice, toute l’opération est arrangée pour toi afin de te sortir de cette affaire… innocent. »

M : « Envoyez-moi une équipe de médias pour qu’ils filment ce qui se passe en direct. »

JD : « Je vais voir ce que je peux faire. Mohammed, ne tire pas sur les deux personnes qui vont s’avancer vers la porte dans pas longtemps, ce sont deux journalistes. »

M : « Qui prouve qu’ils sont journaliste et pas des hommes à vous ? »

JD : « Tu as notre parole qu’ils sont journalistes et ils vont transmettre tout ce que tu dis en direct. »

M : « Avant ça, je veux parler avec ma mère et mon frère Abd el Kader. »

JD : « Quand tu sors, tu pourras leur parler de vive voix. Nous changerons ton identité et ton adresse, tu vivras loin des projecteurs et des problèmes. »

M : « Ils ne s’approchent de la porte qu’avec des caméras sur la tête. »

JD : « D’accord. »

M : « Pourquoi les journalistes portent des vestes, n’ai-je pas exigé qu’ils viennent en tricot ? »

JD : « Il fait froid, ils ne peuvent pas enlever leurs vêtements. »

M : « Vous voulez me tuer, ce sont des policiers qui portent des gilets pare-balles… Dieu est Grand… »

Des coups de feu sont tirés, le bruit d’un tir de sniper…

Mohammed prend le téléphone et se filme en parlant : « Vous, musulmans, ne laissez pas les chrétiens vous tuer, je suis par Dieu innocent, j’ai découvert que mon meilleur ami « Zouhir » travaille pour les renseignements français, lui en qui j’avais le plus confiance… Seigneur, vers toi je me tourne, Seigneur, tue-moi dans ton sentier. 
 »Zouhir » m’a envoyé en Irak à Kirkuk et j’ai contacté les combattants, j’ai eu des bonnes relations avec eux. J’ai ensuite été en Syrie, à Alep, ensuite j’ai été à « Diar Bark » dans le Kurdistan, ensuite en Algérie à Boumerdes et Tizi Ouzou… J’ai contacté des combattants et eu de bonnes relations avec eux… Ce traître m’a utilisé comme outil pour faire du mal aux musulmans combattants… Que Dieu le maudisse, je ne lui pardonnerai jamais… Peut-être que ces mots que j’enregistre, n’arriveront pas à ceux qui cherchent la vérité, peut-être qu’ils me tueront et personne n’en entendra parler. Je ne sais pas ce qu’ils me préparent pour qu’ils m’accusent d’assassiner les gens, je suis innocent, pourquoi ils veulent me tuer ? »

L’image devient noire, le téléphone tombe de sa main. Le son du Saint Coran retentit dans le téléphone, il écoute le Chapitre Al Anfal.

Echanges à la fin du second enregistrement entre Mohammed Merah et le Sheikh Abou Is’haq de Toulouse :

Sheikh Abou Is’haq de Toulouse (parlant en arabe) : « Es’salamou alaykoum wa rahmatou’Allah wa barakatouhou [Que la paix, la clémence et les bénédictions de Dieu soient sur toi]. Mohammed, je suis le Sheikh Abou Is’haq de Toulouse ».

Momammed Merah : « Wa alaykoum essalam wa rahmatou’Allah wa barakatouhou [Que la paix, la clémence et les bénédictions de Dieu soient également sur toi]. Dis-leur, Sheikh, qu’ils ne me fassent pas de mal, par Dieu je suis innocent, je n’ai rien fait. Ceux sont des chrétiens haineux qui veulent nous combattre et nous tuer. »

Sheikh Abou Is’haq : « Rends-toi mon fils, ils ne te feront pas de mal, le monde entier suit ton affaire, ils ne te trahiront pas. »

Après cela, des coups de feu sont entendus, on entend la récitation du Coran dans l’enregistrement jusqu’à sa fin… »

Autres informations importantes sur Merah :

 

Enquête sur l’affaire Merah : Israël ne coopère pas

Obstruction. L’avocat d’une famille endeuillée par l’affaire Merah a révélé aujourd’hui que le gouvernement israélien n’avait pas répondu aux sollicitations des enquêteurs à propos du passage, en 2010, du jeune homme à Jérusalem.

Le mystère s’épaissit. Les juges antiterroristes enquêtant sur les tueries perpétrées en mars 2012 dans la région de Toulouse et Montauban n’ont reçu aucune réponse à la demande de coopération qu’ils ont adressée -il y a plus d’un an- à Israël où Mohamed Merah s’était rendu, a indiqué cet après-midi Olivier Morice, avocat de la famille Legouad.

C’est assez surprenant dans ce dossier parce qu’on voit bien qu’il y a des relations très étroites entre les deux gouvernements à travers des commémorations.

Nous espérons que le gouvernement israélien va répondre (…) parce qu’il est indispensable que les magistrats puissent être en possession de toutes les informations qui seraient susceptibles d’être à charge concernant Mohamed Merah mais aussi sa famille.

Le 15 mars 2013, l’auteur de ces lignes avait rapporté le malaise palpable dans l’émission du Grand Journal de Canal+ au cours de laquelle Djemaa Legouad, accompagnée de son avocat Olivier Morice, avait interpellé Manuel Valls, assis face à elle.

J’ai l’impression que vous nous cachez des choses.

Cinq jours plus tard, Paris Match publiait une enquête consacrée aux mystérieux voyages de Merah au Proche-Orient et accompagnée d’une photo exclusive obtenue par l’agence de Toni Comiti (producteur de télévision et fils de Paul Comiti, le cofondateur et ex-dirigeant du Service d’Action Civique –une police parallèle des années 60/70 qui fut spécialisée dans les coups tordus au service du pouvoir gaulliste).

Après deux nuits dans une auberge de jeunesse, il met le cap sur une destination assez risquée pour un faux touriste musulman en possession de passeports tamponnés par des Syriens et des Irakiens  : Israël  ! Le 7 septembre, ayant traversé le territoire jordanien en bus, Merah réussit pourtant à déjouer les contrôles de la police israélienne au checkpoint du pont Allenby. La facilité avec laquelle il a passé la frontière jordano-israélienne laisse pantois les juges qui, aujourd’hui, instruisent l’affaire. Car en ce début du mois de septembre 2010, le Français est arrêté par la police israélienne, devant la mosquée Al-Aqsa, en possession d’un couteau. Conduit dans un commissariat, il est, d’après son récit aux agents du contre-terrorisme en 2011, «  interrogé une demi-heure sur les motifs de son séjour, puis relâché  ». Une information confirmée par Israël, après la mort de Merah, dans un communiqué laconique.

Le redoutable Shin Bet, service de contre-terrorisme israélien, se serait donc fait berner par un pseudo-touriste passé par les terres historiques du Hezbollah…Soit. Mais comme le souligne la fiche de renseignement de la DCRI sur Mohamed Merah, «  il convient de signaler que Fabien Clain, frère de Jean-Michel, connu de notre documentation pour ses liens avec des individus de la bande de Gaza dès 2008 et plus particulièrement avec l’armée islamique, a également été interpellé et condamné pour son implication dans la filière d’acheminement de djihadistes à destination de l’Irak  ». Le réseau ­d’Artigat avait donc des contacts avec des terroristes palestiniens et le Shin Bet n’aurait pas fait le lien…

D’autant qu’à peine Merah sorti de prison, ce même Fabien Clain, encore incarcéré à Fleury-Mérogis, tente de lui faire parvenir un courrier. La lettre, interceptée par les services de renseignement de la pénitentiaire, finira dans les bureaux de la DCRI. Autre élément troublant  : un numéro de portable israélien est apparu dans le relevé téléphonique de Merah. Selon une source de renseignement extérieur non française, il correspond à un contact palestinien déjà apparu dans l’enquête concernant l’attentat du Caire du 22 février 2009 contre des touristes français.

Paradoxe : tandis que quatre des sept victimes de l’affaire Merah avaient la double nationalité franco-israélienne, le gouvernement de Tel Aviv n’a pas souhaité, à ce jour, accélérer la résolution de l’enquête en apportant les éclaircissements nécessaires sur les déplacements et les contacts de Mohamed Merah sur son territoire. Une telle rétention d’informations est d’autant plus troublante, au regard de l’étroite amitié des dirigeants français et israéliens.

Hicham HAMZA

Il est temps que la vérité éclate au grand jour et que les sionistes soient jugé pour les crimes commis contre les juifs.

En attendant certains se demandent peut-être encore à qui profite les crimes….

« Le grand secret du Sionisme révélé ces dernières décennies. Depuis longtemps le Sionisme a cessé de s’inquiéter de ce qui est bien pour les Juifs. Au contraire c’est l’opposé qui intéresse le Sionisme : faire en sorte que les Juifs souffrent pour qu’ils quittent leurs maisons et aillent en Israël. C’est pourquoi chaque étincelle d’antisémitisme* rempli de soulagement les cœurs des Sionistes. Le Sionisme a besoin des Juifs pour accroitre la population juive et la puissance de l’armée en Israël et non pas pour eux-mêmes…En tant qu’êtres humains ils n’intéressent ni l’état d’Israël ni le Mouvement Sioniste » Boaz Evron journaliste Yediot Ahronot 04/04/1991

« Israël : L’immigration des juifs de France, une nouvelle priorité

« Le gouvernement israélien a une politique claire : l’aliyah (littéralement « la montée » vers Israël, ndlr) de France est une priorité nationale », affirme le directeur général du ministère de l’Immigration et de l’Intégration, Oded Forer.  »

http://www.lexpress.fr/actualites/1/societe/israel-l-immigration-des-juifs-de-france-une-nouvelle-priorite_1555174.html

Ouvrez les yeux !

Quand des juifs dénoncent le sionisme comme créateurs d’antisémitisme.

Il y a un véritable changement en cours à l’égard du sionisme, de plus en plus de juif comprennent que cette organisation se sert d’eux, les manipulent, incite à la haine des deux côtés et se délecte des crimes anti-juif, mais de nombreuses pages d’infos sur le net à propos de la collaboration sioniste nazie disparaissent, alors n’hésitez pas à copier coller et rediffuser les infos de ce site partout où c’est possible !

 

« Ça n’est pas seulement le climat de terreur imposé par ces officines de haine qui nous dérange. Cela fait des années que le sionisme tente d’imposer, par la force, son point de vue à l’ensemble de la communauté juive.

Ce qui est plus grave aujourd’hui, c’est que ces officines ont adopté une stratégie d’escalade, depuis ces dernières semaines, qui renvoie une image de plus en plus négative des Juifs de France, communauté pacifique dans leur ensemble, qui recherche la sérénité et autant que possible le minimum de publicité.

Pire, allant de concert avec un travail éhonté de la LICrA, qui a décidé d’antisémitiser un geste qui pourtant ne l’était pas depuis une décennie, favorise en un seul mois un climat délétère et dangereux pour l’ensemble de la communauté. Ces officines projettent désormais d’aller plus loin encore dans une attitude fascisante et haineuse. Si rien n’est fait pour les arrêter dans la fabrication effective d’un climat antisémite, la tendance ne s’inversera plus.

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Une escalade de la menace sioniste en France est grave mais surtout extrêmement néfaste pour l’ensemble des Juifs de France. La situation économique est catastrophique. S’il arrivait que la situation se détériore plus encore, comment voudriez-vous que les Français soient enclins par la suite à comprendre que tous les Juifs ne sont pas des sionistes, alors qu’on n’entend (quasiment) qu’eux ? Tandis que les autres ne parviennent pas à se faire entendre, du fait de méthodes fascistes de la part des sionistes, dont l’attaque calomnieuse subie aujourd’hui n’est qu’une illustration parmi d’autres.
 

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Nous invitons non seulement les Juifs de France à se désolidariser du fascisme sioniste qui dénaturent l’image de la communauté, et nous invitons tout Juif à urgemment participer, d’une manière ou d’une autre, à faire valoir qu’ils ne les cautionnent nullement. Il faut également cesser le chantage à l’antisémitisme dès qu’une opinion contradictoire apparaît, risquant de galvauder totalement la notion. Et commencer à songer à « dés-antisémitiser » les gestes et les hommes qui en sont abusivement victimes.

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Il faut cesser ce climat de répression de la pensée qui tend à semer de l’amertume dans le cœur de ceux, trop nombreux, qui la subissent (Juifs compris).
Ceux qui, au contraire, n’entendent pas nos prières et font le jeu du sionisme exacerbé, en le cautionnant par leur silence ou pire, en y apportant un concours quelconque, seront les grands responsables de l’amalgame néfaste entre deux notions, que seuls les sionistes veulent vouloir épouser de force : judaïsme et sionisme.

Nous inclinons, chacun, à agir afin de briser l’amalgame fabriqué par ces officines visant à déteindre l’image d’un sionisme fascisant et porteur de haine sur l’ensemble de la communauté juive, qui a contrario est demandeuse de paix et de sécurité.

« Partout où l’antisémitisme n’existe pas, le sionisme le fabrique ! » »

Source : http://metatv.org/des-francais-juifs-denoncent-les-sionistes-comme-createurs-d-antisemitisme

 

 

Extrait de « l’histoire caché du sionisme » de Ralph Schoenman

Si la colonisation de la Palestine a été caractérisée par une série de déprédations, il nous faut prendre le temps d’examiner l’attitude du mouvement sioniste non seulement envers ses victimes palestiniennes (sur laquelle nous reviendrons), mais envers les juifs eux-mêmes. Herzl lui-même écrivait sur les juifs de la façon suivante  » J’ai réussi à atteindre une attitude plus libre envers l’anti-sémitisme, que je commence maintenant à comprendre historiquement et à pardonner. Pardessus tout, je suis conscient de la vanité et la futilité de vouloir « combattre » l’anti-sémitisme.  » (76).
L’organisation de jeunesse des sionistes, Hashomer Hatzair (Jeune Garde), avait publié ceci  » Un juif est la caricature d’un être humain naturel, normal, tant physiquemenet que spirituellement. Comme individu dans une société il se révolte et rejette le harnais des obligations sociales, ne reconnaît ni ordre ni discipline.  » (77).
« Le peuple juif, écrivait Jabotinsky dans la même veine, est un très mauvais peuple ; ses voisins le haissent et à juste titre… La seule chose qui puisse le sauver c’est une immigration générale vers la terre d’Israêl.  » (78).
Les fondateurs du sionisme désespéraient de combattre l’antisémitisme, et paradoxalement, considéraient les anti-sémites eux-mêmes comme des alliés, parce qu’ils partageaient avec eux le même désir de faire quitter aux juifs les pays où ils vivaient. Peu à peu, ils assimilèrent les valeurs de la haine des juifs et de l’anti-sémitisme, au fur et à mesure que le mouvement sioniste en venait à considérer les anti-sémites eux-mêmes comme leurs « sponsors » et protecteurs les plus dignes de confiance. Theodor Herzl alla voir le comte von Plehve lui-même – organisateur des pires pogroms qu’ait commis la Russie, les pogroms de Kishinev -, avec la proposition suivante  » Aidez-moi à atteindre cette terre (la Palestine) plus rapidement et la révolte (contre la férule tsariste) cessera.  » (79).
Von Plevhe donna son accord, et entreprit de financer le mouvement sioniste. Il devait se plaindre plus tard auprès de Herzl  » Les juifs ont rejoint les partis révolutionnaires. Nous avions de la sympathie pour votre mouvement sioniste à partir du moment où il travaillait pour l’émigration. Vous n ’avez pas besoin de justifier votre mouvement à mes yeux. Vous prêchez un converti.  » (80).
Herzl et Weissmann offrirent d’aider à garantir les intérêts tsaristes en Palestine et à débarrasser l’Europe de l’Est et la Russie de ces  » juifs anarcho-bolcheviques nocifs et subversifs « . Comme nous l’avons déjà noté, le même appel avait été lancé par les sionistes à l’adresse du sultan de Turquie, du Kaiser allemand, de l’impérialisme français et de l’Empire britannique.

SIONISME ET FASCISME

L’histoire du sionisme – en grande partie dissimulée – est sordide. Mussolini fournit aux escadrons du mouvement de jeunesse des sionistes révisionnistes, le Betar, des chemises noires pour rivaliser avec ses propres bandes fascistes. Lorsque Menachem Begin devint le dirigeant du Betar, il préféra les chemises brunes des bandes de Hitler, un uniforme que Begin et les membres du Betar portaient dans tous leurs meetings et rassemblements – au cours desquels ils s’accueillaient, ouvraient et clôturaient leurs réunions par le salut fasciste.
Simon Petilura était un fasciste ukrainien qui dirigea personnellement 897 pogroms particuliers qui aboutirent à la mort de 28 000 juifs. Jabotinsky négocia une alliance avec Petilura, proposant qu’une force de police juive accompagne les forces de Petilura dans le combat contre-révolutionnaire contre l’Armée rouge et la révolution bolchevique – ce qui signifiait assassiner les paysans, les ouvriers et les intellectuels partisans de la révolution.

COLLABORATION DES SIONISTES AVEC LES NAZIS

Cette stratégie d’enrôlement des ennemis virulents des juifs en Europe, et d’alignement sur les mouvements et régimes les plus pervers pour patronner financièrement et militairement une colonie sioniste en Palestine, n’excluait pas les nazis. La Fédération sioniste d’Allemagne envoya un mémorandum de soutien au parti nazi le 21juin 1933. La Fédération y notait  » … Une renaissance de la vie nationale telle que celle qui se produit dans la vie de l’Allemagne.., doit également se produire dans le groupe national juif. A partir de la fondation du nouvel Etat (nazi) qui a établi le principe de la race, nous souhaitons insérer notre communauté dans l’ensemble de cette strucure de façon à ce que pour nous aussi, dans la sphère qui nous est assignée, une activité fructueuse pour la mère patrie soit possible…  » (81). Loin de dénoncer cette politique, le congrès de l’Organisation sioniste mondiale en 1933 repoussa une résolution appelant à l’action contre Hitler, par un vote de 240 contre 43.
Au moment même où se tenait ce congrès, Hitler annonçait la conclusion d’un accord commercial avec la Banque anglo-palestinienne de l’Organisation sioniste mondiale, qui rompait ainsi le boycott du régime nazi par les juifs à une époque où l’économie allemande était extrêmement vulnérable. On était en plein coeur de la grande dépression et les gens poussaient des brouettes de deutschmarks sans valeur. L’Organisation sioniste mondiale rompit le boycott juif et devint l’un des principaux distributeurs des marchandises nazies dans tout le Moyen-Orient et en Europe du Nord. Ils établirent le Ha’avara, qui était une banque en Palestine ayant pour but de recevoir l’argent de la bourgeoisie juive allemande, avec lequel les marchandises nazies étaient achetées en quantité substantielle.

L’ACCOLADE DES SIONISTES AUX NAZIS

Par voie de conséquence, les sionistes firent venir en Palestine le baron von Mildenstein du Service de Sécurité S.S. pour une visite de six mois de soutien au sionisme. Cette visite aboutit à un rapport en douze chapitres de Joseph Goebbels, ministre de la Propagande de Hitler, dans DerAngriff (L’Assaut) en 1934, rapport louangeur pour le sionisme. Goebbels commanda un médaillon frappé d’un côté avec la swastika et de l’autre avec l’étoile de David sioniste.
En mai 1935, Reinhardt Heydrich, chef du Service de Sécurité S.S., écrivit un article dans lequel il séparait les juifs en « deux catégories ». Les juifs qu’il aimait étaient les sionistes  » Nos bons voeux et notre bonne volonté leurs sont acquis.  » (82).
En 1937, la milice ouvrière « socialiste » sioniste, la Haganah (fondée par Jabotinsky) envoya un agent (Feivel Polkes) à Berlin, offrant d’espionner au compte du Service de Sécurité S.S. en échange du déblocage de richesses juives pour la colonisation sioniste. Adolf Eichmann fut invité en Palestine par les soins de la Haganah. Feivel Polkes informa Eichmann  » Les cercles nationalistes juifs sont très satisfaits de la politique radicale de l’Allemagne, car la population juive en Palestine sera de ce fait tellement accrue que dans un futur proche les juifs pourraient compter sur une supériorité numérique face aux Arabes.  » (83).
La liste des actes de collaboration des sionistes avec les nazis est longue. Qu’est-ce qui peut expliquer cette volonté incroyable des dirigeants sionistes de trahir les juifs d’Europe ? Tout le raisonnement avancé par ses défenseurs pour justifier l’Etat d’Israèl était qu’il a été conçu comme un refuge pour les juifs persécutés. Les sionistes, en fait, considéraient tout effort pour sauver les juifs d’Europe non comme l’accomplissement de leur objectif politique mais comme une menace pour leur mouvement tout entier. Si les juifs d’Europe étaient sauvés, ils voudraient aller ailleurs et l’opération de secours n’aurait rien à voir avec le projet sioniste de conquête de la Palestine.

COMMENT LES SIONISTES ONT SACRIFIE LES JUIFS EUROPEENS

Le corollaire de ces actes de collaboration avec les nazis au cours des années 30 c’est le fait que lorsqu’on envisagea une modification des lois sur l’immigration aux Etats-Unis et en Europe occidentale pour fournir un refuge symbolique aux juifs persécutés d’Europe, ce furent les sionistes qui organisèrent activement l’arrêt de ces efforts. Bén Gourion s’adressant à un rassemblement de sionistes ouvriers de Grande-Bretagne en 1938 déclarait  » Si je savais possible de sauver tous les enfants actuellement en Allemagne en les faisant venir en Angleterre et seulement la moitié d’entre eux en les transportant en Eretz Israél, eh bien j’opterais pour la seconde solution.  » (84).
Cette obsession de la colonisation de la Palestine et de l’écrasement des Arabes conduisit le mouvement sioniste à s’opposer à toute tentative de sauver les juifs face à l’extermination, parce que les possibilités de détourner vers la Palestine une main-d’oeuvre sélectionnée en auraient été entravées. De 1933 à 1935, l’Organisation sioniste mondiale refusa les deux tiers des juifs allemands qui sollicitèrent un certificat d’immigration.
Berel Katznelson, éditeur du journal sioniste ouvrier Davar, décrit ce  » cruel critère du sionisme  »  » Les juifs allemands étaient trop vieux pour avoir des enfants en Palestine, n ’avaient pas les métiers nécessaires pour construire une colonie sioniste, ne parlaient pas hébreu et n ’étaient pas sionistes. A la place de ces juifs confrontés à l’extermination, l’O.S.M. fit venir en Palestine 6 000 jeunes sionistes entraînés en provenance des USA, d’Angleterre ou autres pays sans danger. Pire, l’O.S.M. non seulement ne chercha aucune alternative pour les juifs confrontés à l’holocauste, mais encore les dirigeants sionistes s’opposèrent-ils de façon belliqueuse à tous les efforts pour fournir un refuge aux juifs en fuite. « 
En 1943 encore, alors que les juifs d’Europe étaient exterminés par millions, le Congrès US proposait de constituer une commission pour « étudier » le problème. Rabbi Stephen Wise, qui était le principal porte-parole américain du sionisme, vint à Washington pour déposer contre cette loi de sauvetage des juifs parce qu’elle détournerait l’attention de la colonisation de la Palestine.
C’est le même Rabbi Wise qui en 1938, en tant que dirigeant du Congrès juif américain, avait écrit une lettre dans laquelle il s’opposait à toute modification des lois sur l’immigration américaine visant àpermettre aux juifs de trouver un asile. Il expliquait  » Cela vous intéressera peut-être de savoir qu’il y a quelques semaines les représentants de toutes les principales organisations juives se sont réunies en conférence… Il a été décidé qu’aucune organisation juive ne soutiendrait, pour l’instant, une loi qui modifierait d’une quelconque façon les lois sur l’immigration.  » (85).

CONTRE LE DROIT D’ASILE

« L’establishment » sioniste tout entier prit une position sans équivoque dans sa réponse à une motion de 227 membres du Parlement britannique demandant au gouvernement de fournir un asile sur les territoires britanniques aux juifs persécutés. Cette maigre entreprise était préparée de la façon suivante  » Le gouvernement de Sa Majesté a fourni pI usieurs centaines de permis d’immigration pour l’Ile Maurice et autres destinations en faveur des familles juives menacées.  » (86).
Mais même cette mesure symbolique rencontra l’opposition des dirigeants sionistes. Lors d’une rencontre parlementaire le 27janvier 1943, alors que les démarches étaient suivies par plus d’une centaine de parlementaires, un porte-parole des sionistes annonça leur opposition à cette motion parce qu’elle ne comportait aucune mesure préparatoire à la colonisation de la Palestine. C’était là une position logique. Chaim Weizmann, premier président d’Israel, dirigeant sioniste qui organisa la déclaration Balfour, rendit cette politique sioniste très explicite :
 » Les espoirs des six millions de juifs européens sont concentrés sur l’immigration. On m’a demandé : « Pouvez-vous faire venir six millions de juifs en Palestine ? » J’ai répondu : « Non »… Des pro fondeurs de la tragédie je veux sauver (…) les jeunes gens (pour la Palestine). Les vieux disparaîtront. Ils feront face ou non à leur destin. Ils ne sont que poussière, une poussière économique et morale dans un monde cruel… Seule la branche des jeunes survivra. Il faut qu’ils l’acceptent.  » (87).
Yitzhak Gruenbaum, président du comité mis en place par les sionistes, théoriquement pour enquêter sur la situation des juifs européens, déclarait  » Lorsqu’on vient nous voir avec deux plans – sauver la masse des juifs d’Europe ou la rédemption de notre terre – je vote sans hésiter pour la rédemption de la terre. Plus on parlera sur le massacre de notre peuple, plus l’on minimisera nos efforts pour renforcer et promouvoir l’hébraïsa tion de notre terre. S’il y avait aujourd’hui la possibilité d’acheter des paquets de nourriture avec l’argent du Karen Hayesod (Appel juif uni) pour l’envoyer par le biais de Lisbonne, le ferions-nous ? Non, encore une fois, non !  » (88).

COMMENT LES SIONISTES ONT TRAHIS LA RESISTANCE

En juillet 1944, le dirigeant juif slovaque Rabbi Dov Michael Weissmandel, dans une lettre aux responsables sionistes chargés de ces « organisations de secours », proposa une série de mesures pour sauver les juifs promis à la liquidation à Auschwitz. Il fournit des cartes exactes des trains et réclama d’urgence le bombardement des voies sur lesquelles les juifs hongrois étaient transportés vers les fours crématoires.
Il appelait au bombardement des fours crématoires d’Auschwitz, au parachutage de munitions aux 80 000 prisonniers, au parachutage de saboteurs pour faire sauter tous les moyens d’annihilation et ainsi mettre fin à l’extermination de 13 000 juifs par jour. Si les alliés refusaient de répondre à cet appel organisé et public des « organisations de secours », Weissmandel proposait que les sionistes, qui avaient des fonds et une organisation, se procurent des avions, recrutent des volontaires juifs et réalisent ce sabotage.
Weissmandel n’était pas seul. Tout au long de la fin des années trente et au cours des années quarante, des porte-parole juifs en Europe crièrent à l’aide, réclamant des campagnes publiques, une résistance organisée, des manifestations pour forcer la main des gouvernements alliés – pour rencontrer uniquement non seulement le silence des sionistes, mais le sabotage actif par les sionistes des maigres efforts proposés ou préparés en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis.
Voici le cri du coeur de Rabbi Weissmandel. Ecrivant aux sionistes en juillet 1944, il dit « Pourquoi n’avez-vous rien fait jusqu’à présent ? Qui est coupable de cette négligence effroyable ? N’êtes-vous pas coupables, vous nos frères juifs, vous qui avez la plus grande richesse du monde : la liberté ? »
« Nous vous envoyons ce message spécial, écrivait encore Rabbi Weissmandel, pour vous informer qu’hier les Allemands ont commencé la déportation des juifs de Hongrie… Les déportés vont à Auschwitz pour être gazés au cyanure. Voici le programme d’Auschwitz d’aujourd’hui jusqu ’à la fin :12 000 juifs – hommes, femmes, enfants, vieillards, nourrissons, malades ou en bonne santé -, doivent être gazés chaque jour. Et vous, nos frères de Palestine, de tous les pays de liberté, et vous ministres de tous les royaumes, comment pouvez-vous rester silencieux face à cet immense meurtre ? Silencieux, pendant que par milliers et par milliers, jusqu ’à six millions de juifs ont été assassinés à ce jour ? Et silencieux encore maintenant, alors que des dizaines de milliers continuent à être assassinés et à attendre d’être assassinés ? Leurs coeurs détruits vous crient àl’aide en pleurant sur votre cruauté.
Vous êtes des brutes et vous êtes des assassins vous aussi, par ce silence plein de sang-froid avec lequel vous restez spectateurs, à rester les bras croisés et ne rien faire, alors que vous pourriez arrêter ou retarder le meurtre des juifs en ce moment même.
Vous, nos frères, fils d’Israêl, êtes-vous devenus fous ? Ne connaissez-vous pas l’enfer qui nous entoure ? Pour qui épargnez-vous votre argent ? Assassins ! Insensés ! Qui fait oeuvre de charité : vous qui de l’abri sûr de vos maisons lancez quelques sous, ou nous qui versons notre sang dans les profondeurs de l’enfer ?  » Aucun dirigeant sioniste ne soutint sa requête, pas plus que les régimes capitalistes occidentaux ne bombardèrent un seul camp de concentration.

UN PACTE SIONISTE-NAZIE CONTRE LES JUIFS HONGROIS

Le point culminant de la trahison des sionistes fut le sacrifice des juifs hongrois par une série d’accords entre le mouvement sioniste et l’Allemagne nazie qui furent rendus publics pour la première fois en 1953. Le Dr Rudolf Kastner du Comité de sauvetage de l’Agence juive à Budapest signa un pacte secret avec Adolf Eichmann pour « régler la question juive » en Hongrie. Cela se passait en 1944. Le pacte scellait le destin de 800 000 juifs. Il se révéla par la suite que Kastner agissait sous les ordres des dirigeants sionistes à l’étranger lorsqu’il passa cet accord avec Eichmann. L’accord prévoyait que soient sauvées 600 personnalités juives à condition que le silence soit fait sur le sort des juifs hongrois.
Lorsqu’un survivant, Malchiel Greenwald, dénonça ce pacte et dénonça Kastner comme un collaborateur nazi dont « les actes à Budapest avaient coûté la vie à des centaines de milliers de juifs » (91), Greenwald fut poursuivi en justice par le gouvernement israélien, dont les dirigeants avaient rédigé les termes du pacte Kastner. La cour israélienne aboutit à la conclusion suivante  » Le sacrifice d’une majorité de juifs, pour sauver les plus éminentS, était l’élément de base de l’accord entre Kastner et les nazis. Cet accord fixé, la division de la nation entre deux camps inégaux, une petite fraction de personnes éminentes, que les nazis promirent à Kastner de sauver d’une part, et la grande majorité des juifs hongrois que les nazis avaient condamnés à mort de l’autre.  » (92).
La cour déclara que la condition impérative de ce pacte était que ni Kastner ni les dirigeants sionistes n’interfèrent dans l’action des nazis contre les juifs. Ces dirigeants entreprirent non seulement d’éviter les interférences, mais tombèrent d’accord pour ne pas, selon les termes de la cour israélienne, « les gêner dans leur oeuvre d’extermination ».
« La collaboration entre le Comité de sauvetage de l’Agence juive et les exterminateurs des juifs fut consolidée à Budapest et à Vienne. Les tâches de Kastner faisaient partie des bagages des S.S.. En plus du Service d’extermination et du Service du pillage, les S.S. nazis ouvrirent un Service de sauvetage dirigé par Kastner.  » (93).

SAUVER LES NAZIS, PAS LES JUIFS

Il n’est pas surprenant qu’il ait été révélé que Kastner intervint pour sauver le général SS Kurt Becher qui devait être jugé pour crimes de guerre. Becher avait été l’un des principaux négociateurs du pacte avec les sionistes en 1944. Il fut également major SS en Pologne, membre de l’Escadron de la mort « qui travaillait 24 heures sur 24 à tuer les juifs ». « Becher s’était distingué comme boucher des juifs en Pologne et en Russie. » (94).
Il fut nommé commissaire de tous les camps de concentration nazis par Heinrich Himmler. Où est-il à présent ? Il est président de plusieurs sociétés et dirige la vente du blé à Israél. Sa société, la CologneHandel Gesselschaft, fait aujourd’hui des affaires avec le gouvernement israélien.
Notes
(76) Marvin Lowenthal, ed, « Les Carnets de Théodore Herzl » (The Diaries of Theodor Herzl), page 6, cité par Lenni Brenner dans « Le sionisme à l’ère des dictateurs » (Zionism in the Age of the Dictators), (Westport, Connecticut).
(77) Lawrence Hill, 1983, page 6. Extrait de  » Our Shomer « Weltanschauung » « , Hashomer Hatzair, décembre 1936. Première publication en 1917, Brenner, « Le sionisme » (Zionism), page 22.
(78) Brenner, « Le Mur d’acier » (The Iran Wall).
(79) Ibidem, page 14.
(80) Ibidem.
(81) Brenner, « Le sionisme » (Zionism), page 48.
(82) Ibidem, page 85.
(83) Ibidem, page 99.
(84) Ibidem, page 149.
(85) Ibidem.
(86) Rabbi Solomon Schonfeld, chef des rabbins en Angleterre au cours de la Deuxième Guerre mondiale. Fans Yahya, « Les relations sionistes avec l’Allemagne nazie » (Zionist Relations with Nazi Germany) (Beyrouth, Liban Palestine Research Center , janvier 1978), page 53.
(87) Chaim Weizmann rapportant au Congrès sioniste de 1937 sur son témoignage devant la Commission Peel à Londres, juillet 1937, Yahya, page 55.
(88) Yitzhak Gruenbaum était président du Comité de sauvetage de l’Agence juive. Extrait d’un discours prononcé en 1943,ibidem, page 56.
(89) Ibidem, page 53.
(90) Ibidem, pages 59-60.
(91) Ibidem, page 58.
(92) Jugement porté le 22 juin 1955, protocole sur le cas criminel 124/53 à la Cour du district de Jérusalem (Protocol of Criminal Case 124/53 in Disctict Court), ibidem, page 58. (93) Ibidem, page 59.
(94) Ben Hecht, « Perfidie » (Perfidy) (New York, 1961), pages 58-59, ibidem page 60.
(95) « Proposition de l’Organisation nationale militaire – Irgun Zvai Leumi – concernant la solution de la question juive en Europe et la participation de la NMO à la guerre aux côtés de l’Allemagne » (Proposal of the National Military Organization – Irgun Zvai Leumi – Concerning the Solution of the Jewish Question in Europe and the Participation of the NMO in the War on the side of Germany). Texte original trouvé dans « Le problème palestinien dans la politique allemande » (The Palestine Problem in German Politics), 1889-1945, de David Yisraèli (Ramat Gan, Israel : Bar Ilan University, 1974) pages 315-317, Brenner, « Le sionisme » (Zionism), page 267.
(96) Brenner, « Le Mur d’acier », page 107.
(97) Lidice était un village tchèque qui a été entièrement rasé par les S.S.. Il est devenu le symbole de la brutalité nazie et a été distingué comme crime de guerre lors des procès de Nuremberg.

Mohammed Merah etait-il coupable ou manipulé par les services secrets français ?

Voila un texte qui fait réfléchir, a l’heure ou tant de jeune français vont rejoindre les jihadiste en Syrie manipulé par la CIA via les réseaux de l’internationale sunnite wahhabite (appelé maintenant Al Quaida) et l’ISI les  services secret pakistanais.

Ce qu’il faut garder à l’esprit, c’est que depuis l’arrivé au pouvoir de Sarkozy, ( voir Opération Sarkozy : comment la CIA a placé un de ses agents à la présidence de la République française) la France est au main des banquiers qui contrôlent les USA, l’agent Sarkozy a remis la France dans l’OTAN et ce n’est pas l’autre agent Hollande, soumis au sioniste qui changera la donne, donc les services secrets français (refondu par Sarko) sont au mains de la CIA, les Imam pro sunnites wahhabite peuvent manipuler et recruter les musulmans français qui serviront pour les guerres voulu par l’empire.

 »Les dernières paroles de Merah : Y a t’il eu manipulations ?

Le cinéaste Mathieu Kassovitz revient sur l’affaire Merah et remet en cause la version communiquée par les autorités françaises, soulignant des « zones d’ombre ». « Qui a tué ces enfants juifs ? Sommes-nous certains que c’est Merah et doit-on croire la version officielle malgré les zones d’ombre », demande-t-il sur Twitter, entraînant une vague de réactions.

Mathieu Kassovitz a diffusé les liens de nombreuses coupures de presse qui allaient dans son sens et montraient que « les services français étaient impliqués dans l’affaire ». Deux vidéos filmées par Mohammed Merah avec son téléphone portable vont être remises à la justice. D’après le père de Mohammed Merah, ces vidéos prouvent que son fils a été manipulé par les services secrets français.

Voici la retranscription de ces vidéos…
 

Première vidéo : Echanges entre Mohammed Merah et un certain « Jossier », capitaine du service des renseignements français.

La bande débute avec une image de l’intérieur de l’appartement de Merah, avec de nombreux échanges de tirs qui ont duré environ quatre minutes. Il portait des vêtements maculés de sang, notamment sur son épaule gauche. Ensuite, Mohammed se filme en disant : « Il n’y a de Dieu hormis Allah et Mohammed est son Prophète ». Puis il s’écroule en larmes.

Jossier : « Allô, Mohammed, sors et rends-toi, personne ne te fera de mal, tu me connais et tu connais ma parole… »

Mohammed Merah : « Va au diable espèce de traître, pourquoi vous voulez me tuer aujourd’hui ? Qu’ai-je fais ? Je n’ai rien fait, je n’ai tué personne. C’est toi qui m’a amené dans cette situation et je ne te le pardonnerai pas ».

J : « Ca ne te servira à rien de rester longtemps ici. Si tu ne m’écoutes pas, je ne pourrai plus gérer la situation demain et je ne pourrai plus t’aider. Alexandre, mon chef, a ton dossier et il promet qu’il sera avec toi jusqu’à la fin ! »

M : « Comment tu peux m’aider alors que c’est toi qui est responsable de cette situation. Monsieur le capitaine Jossier, je connais ton vrai nom et toi qui nous trompait avec le nom de « Zouhir » [ou « Z’hir »], espèce de traître à sa propre religion et ses frères de sang ! ».

J : « Mohammed, rends-toi, on t’aidera du mieux qu’on pourra, nous ne te laisserons pas tomber, tu comptes énormément pour nous. Comme gage de ma bonne foi, je rentre dans la maison et si tu veux on discute face à face. »

M : « Espèce de traître… »

Des coups de feu se font entendre dans la maison et dehors, l’appel est interrompu. Mohammed se filme en disant tout en pleurant : « Il n’y a de force qu’en Allah, je croyais que ce traître Zouhir était musulman et qu’il aime l’Islam et la religion de Dieu, mais il semble qu’il travaille comme capitaine dans les renseignements français, ennemi de Dieu, mécréant ».

C’est le silence et Mohammed perd du sang de son épaule gauche, il porte un turban et de temps à autre, il fait une prière (« Il n’a y a de Dieu hormis Allah… que Dieu détruise les associateurs ») qu’il répète à quatre reprises.

Le téléphone sonne une fois encore, c’est une musique « jihadiste » (« Nous rentrons ouvertement en guerre contre eux et nous reprendrons le droit qui nous a été volé »).

J : « Allô, Mohammed, écoute ce que je dis, ce que tu fais menace ta vie et la vie de ta famille… ta mère, ton frère Abd el Kader et ceux que tu aimes. Écoute-moi et crois-moi, je ferai l’impossible pour régler ce problème et tu seras propre, comme avant. Tout va s’arranger, rends-toi ou sinon reste dans la maison et je rentre pour qu’on sorte ensemble pour que personne ne te fasse de mal. Tu es quelqu’un de sensé Mohammed, quel est l’intérêt de mourir de cette manière en laissant ta famille qui a souffert pour toi. »

M : « Tu veux me liquider et m’assassiner seul dans la maison… Ensuite, vous faites votre film… Ceci ne sera pas… pour ma mère et ceux que j’aime, Dieu les protégera, Il est leur allié. Tu n’es qu’un ignoble qui a vendu sa foi et sa vie d’ici-bas pour les chrétiens haineux… et aujourd’hui, vous voulez me tuer alors que je suis innocent, je n’ai rien fait ! Pourquoi vous voulez me tuer, je suis innocent… je suis innocent ! Pourquoi vous tirez avec des pistolets silencieux ? Vous voulez me tuer, vous ne voulez pas que je vive, pourquoi faites-vous ça ? C’est contraire à ce que vous prétendez comme « droit de l’homme » et la clémence ! »


J : « Mohammed, en agissant comme ça, tu laisses les choses empirer et d’autres vont intervenir… Tu seras peut être blessé, ainsi que ta famille… Écoute mon conseil, rends-toi ou laisse moi venir te chercher, je prends ton arme… Rien ne peut t’aider aujourd’hui… »

M : « C’est mal ce que tu fais « Zouhir », tu m’as envoyé en Irak, le Pakistan et la Syrie pour aider les musulmans et ensuite tu apparais comme un criminel et capitaine dans les renseignements, je ne te pensais pas comme ça, jamais ! »

J : « Mohammed, ce qui est fait est fait, le plus important maintenant est que tu sauves ta vie, je te sortirai de cette affaire… Rends-toi ou permets-moi de rentrer chez toi et de prendre ton arme. »

M : « Je ne sortirai d’ici que mort, vers le paradis de mon Seigneur… Dieu est grand ! »

(Tirs) … L’appel s’interrompt et un échange de tirs s’ensuit avec le bruit des balles et des armes silencieuses.

Mohammed parle tout en se filmant : « Ne crois pas que ceux qui sont tués dans le sentier d’Allah sont morts mais bel et bien vivants, recevant les bienfaits de leur Seigneur. Heureux de ce que Dieu leur a octroyé. Ne dites pas nous avons perdu un martyr sous la terre, seul et apeuré… Je ne suis pas mort, les anges sont autour de moi… »
 

Deuxième vidéo : Echanges entre Mohammed Merah et Jean Daniel (ou John Daniel) du service des renseignements français.

Jean Daniel : « Mohammed, rends-toi, c’est Jean Daniel avec toi, des RG. Personne ne te fera de mal si tu sors de la maison et que tu déposes les armes. »

Mohammed Merah : « Qui garantit ce que vous dites ? »

JD : « Tu veux qu’on ramène ta mère pour parler avec elle ? Ta fiancée ? »

M : « Je ne veux voir personne, je ne veux pas l’entendre et je ne veux entendre personne d’autre, vous voulez me mettre la pression en les ramenant. »

JD : « Non, nous sommes des gens civilisés, tu connais la France, nous ne te ferons pas de mal, ni toi, ni ta famille, rends-toi, ce qui s’est passé va être arrangé et tu ne seras pas poursuivi par la justice. »

M : « Qui garantit ça ? »

JD : « J’ai des ordres de mes supérieurs, personne ne te fera de mal et personne ne te poursuivra en justice, toute l’opération est arrangée pour toi afin de te sortir de cette affaire… innocent. »

M : « Envoyez-moi une équipe de médias pour qu’ils filment ce qui se passe en direct. »

JD : « Je vais voir ce que je peux faire. Mohammed, ne tire pas sur les deux personnes qui vont s’avancer vers la porte dans pas longtemps, ce sont deux journalistes. »

M : « Qui prouve qu’ils sont journaliste et pas des hommes à vous ? »

JD : « Tu as notre parole qu’ils sont journalistes et ils vont transmettre tout ce que tu dis en direct. »

M : « Avant ça, je veux parler avec ma mère et mon frère Abd el Kader. »

JD : « Quand tu sors, tu pourras leur parler de vive voix. Nous changerons ton identité et ton adresse, tu vivras loin des projecteurs et des problèmes. »

M : « Ils ne s’approchent de la porte qu’avec des caméras sur la tête. »

JD : « D’accord. »

M : « Pourquoi les journalistes portent des vestes, n’ai-je pas exigé qu’ils viennent en tricot ? »

JD : « Il fait froid, ils ne peuvent pas enlever leurs vêtements. »

M : « Vous voulez me tuer, ce sont des policiers qui portent des gilets pare-balles… Dieu est Grand… »

Des coups de feu sont tirés, le bruit d’un tir de sniper…

Mohammed prend le téléphone et se filme en parlant : « Vous, musulmans, ne laissez pas les chrétiens vous tuer, je suis par Dieu innocent, j’ai découvert que mon meilleur ami « Zouhir » travaille pour les renseignements français, lui en qui j’avais le plus confiance… Seigneur, vers toi je me tourne, Seigneur, tue-moi dans ton sentier. « Zouhir » m’a envoyé en Irak à Kirkuk et j’ai contacté les combattants, j’ai eu des bonnes relations avec eux. J’ai ensuite été en Syrie, à Alep, ensuite j’ai été à « Diar Bark » dans le Kurdistan, ensuite en Algérie à Boumerdes et Tizi Ouzou… J’ai contacté des combattants et eu de bonnes relations avec eux… Ce traître m’a utilisé comme outil pour faire du mal aux musulmans combattants… Que Dieu le maudisse, je ne lui pardonnerai jamais… Peut-être que ces mots que j’enregistre, n’arriveront pas à ceux qui cherchent la vérité, peut-être qu’ils me tueront et personne n’en entendra parler. Je ne sais pas ce qu’ils me préparent pour qu’ils m’accusent d’assassiner les gens, je suis innocent, pourquoi ils veulent me tuer ? »

L’image devient noire, le téléphone tombe de sa main. Le son du Saint Coran retentit dans le téléphone, il écoute le Chapitre Al Anfal.
 

Echanges à la fin du second enregistrement entre Mohammed Merah et le Sheikh Abou Is’haq de Toulouse :

Sheikh Abou Is’haq de Toulouse (parlant en arabe) : « Es’salamou alaykoum wa rahmatou’Allah wa barakatouhou [Que la paix, la clémence et les bénédictions de Dieu soient sur toi]. Mohammed, je suis le Sheikh Abou Is’haq de Toulouse ». 


Momammed Merah : « Wa alaykoum essalam wa rahmatou’Allah wa barakatouhou [Que la paix, la clémence et les bénédictions de Dieu soient également sur toi]. Dis-leur, Sheikh, qu’ils ne me fassent pas de mal, par Dieu je suis innocent, je n’ai rien fait. Ceux sont des chrétiens haineux qui veulent nous combattre et nous tuer. »

Sheikh Abou Is’haq : « Rends-toi mon fils, ils ne te feront pas de mal, le monde entier suit ton affaire, ils ne te trahiront pas. »

Après cela, des coups de feu sont entendus, on entend la récitation du Coran dans l’enregistrement jusqu’à sa fin… »

Comme toujours, les crimes commis contre les juifs servent le sionisme et de nombreuses familles juives ont pris la décision de partir dans les colonies israéliennes après….

A qui profite les crimes…

Autres nouvelles infos sur Merah :

 

Enquête sur l’affaire Merah : Israël ne coopère pas

Obstruction. L’avocat d’une famille endeuillée par l’affaire Merah a révélé aujourd’hui que le gouvernement israélien n’avait pas répondu aux sollicitations des enquêteurs à propos du passage, en 2010, du jeune homme à Jérusalem. 

Le mystère s’épaissit. Les juges antiterroristes enquêtant sur les tueries perpétrées en mars 2012 dans la région de Toulouse et Montauban n’ont reçu aucune réponse à la demande de coopération qu’ils ont adressée -il y a plus d’un an- à Israël où Mohamed Merah s’était rendu, a indiqué cet après-midi Olivier Morice, avocat de la famille Legouad.

 

C’est assez surprenant dans ce dossier parce qu’on voit bien qu’il y a des relations très étroites entre les deux gouvernements à travers des commémorations.

 

Nous espérons que le gouvernement israélien va répondre (…) parce qu’il est indispensable que les magistrats puissent être en possession de toutes les informations qui seraient susceptibles d’être à charge concernant Mohamed Merah mais aussi sa famille.

 

Le 15 mars 2013, l’auteur de ces lignes avait rapporté le malaise palpable dans l’émission du Grand Journal de Canal+ au cours de laquelle Djemaa Legouad, accompagnée de son avocat Olivier Morice, avait interpellé Manuel Valls, assis face à elle.

J’ai l’impression que vous nous cachez des choses.

Cinq jours plus tard, Paris Match publiait une enquête consacrée aux mystérieux voyages de Merah au Proche-Orient et accompagnée d’une photo exclusive obtenue par l’agence de Toni Comiti (producteur de télévision et fils de Paul Comiti, le cofondateur et ex-dirigeant du Service d’Action Civique –une police parallèle des années 60/70 qui fut spécialisée dans les coups tordus au service du pouvoir gaulliste).

Après deux nuits dans une auberge de jeunesse, il met le cap sur une destination assez risquée pour un faux touriste musulman en possession de passeports tamponnés par des Syriens et des Irakiens : Israël ! Le 7 septembre, ayant traversé le territoire jordanien en bus, Merah réussit pourtant à déjouer les contrôles de la police israélienne au checkpoint du pont Allenby. La facilité avec laquelle il a passé la frontière jordano-israélienne laisse pantois les juges qui, aujourd’hui, instruisent l’affaire. Car en ce début du mois de septembre 2010, le Français est arrêté par la police israélienne, devant la mosquée Al-Aqsa, en possession d’un couteau. Conduit dans un commissariat, il est, d’après son récit aux agents du contre-terrorisme en 2011, « interrogé une demi-heure sur les motifs de son séjour, puis relâché ». Une information confirmée par Israël, après la mort de Merah, dans un communiqué laconique.

Le redoutable Shin Bet, service de contre-terrorisme israélien, se serait donc fait berner par un pseudo-touriste passé par les terres historiques du Hezbollah…Soit. Mais comme le souligne la fiche de renseignement de la DCRI sur Mohamed Merah, « il convient de signaler que Fabien Clain, frère de Jean-Michel, connu de notre documentation pour ses liens avec des individus de la bande de Gaza dès 2008 et plus particulièrement avec l’armée islamique, a également été interpellé et condamné pour son implication dans la filière d’acheminement de djihadistes à destination de l’Irak ». Le réseau ­d’Artigat avait donc des contacts avec des terroristes palestiniens et le Shin Bet n’aurait pas fait le lien…

D’autant qu’à peine Merah sorti de prison, ce même Fabien Clain, encore incarcéré à Fleury-Mérogis, tente de lui faire parvenir un courrier. La lettre, interceptée par les services de renseignement de la pénitentiaire, finira dans les bureaux de la DCRI. Autre élément troublant : un numéro de portable israélien est apparu dans le relevé téléphonique de Merah. Selon une source de renseignement extérieur non française, il correspond à un contact palestinien déjà apparu dans l’enquête concernant l’attentat du Caire du 22 février 2009 contre des touristes français.

Paradoxe: tandis que quatre des sept victimes de l’affaire Merah avaient la double nationalité franco-israélienne, le gouvernement de Tel Aviv n’a pas souhaité, à ce jour, accélérer la résolution de l’enquête en apportant les éclaircissements nécessaires sur les déplacements et les contacts de Mohamed Merah sur son territoire. Une telle rétention d’informations est d’autant plus troublante, au regard de l’étroite amitié des dirigeants français et israéliens.

POUR EN SAVOIR PLUS SUR LES ZONES D’OMBRE DE L’AFFAIRE MERAH 

Hicham HAMZA

source : http://www.panamza.com/03022014-merah-israel